jeudi 3 juillet 2008

L'imprimerie et le temps


Lorsque Gutenberg a inventé les caractères mobiles il a fallu plus de 400 ans pour que ce moyen extraordinaire de communication assure une relative vulgarisation de l’information.

La révolution que représente la dématérialisation des documents servant à l’impression est tout à fait comparable à cette découverte du quinzième siècle, car elle accélère, comme sa grande sœur, considérablement les échanges entre clients et imprimeurs et de ce fait l’efficacité de l’imprimerie. Qui aurait pu imaginer, il y a quelques années, imprimer un document à l’autre bout de la planète, et le récupérer sur un stand de foire internationale 24 heures après.

Comme pour tout changement important, il faut savoir mettre en cause des habitudes acquises au fil du temps, revoir ses comportements et savoir profiter pleinement de l’évolution. Le web transporte les fichiers à la vitesse des ondes, assure les échanges en temps réel, permet une information linéaire sans rupture.

Profitons-en !

Nous n’allons pas attendre 400 ans pour profiter du web.

Gérons notre besoin du prépress à l’impression sans sortir de chez nous.

mercredi 25 juin 2008

Comment choisir un imprimeur ?

Choisir un imprimeur c’est choisir un mode de fabrication. Comment savoir si c’est le bon ? Imprimeur ou intermédiaire ?

L’évolution des techniques et l’évolution conjointe des matériels, augmente considérablement l’importance du choix du matériel pour la bonne réalisation d’un produit imprimé. Ce choix pèse, surtout, très fortement sur le prix de revient.

Il est clair que l’acheteur non spécialisé se trouve fortement démuni pour fixer son choix.

En effet, comment savoir si tel travail est à réaliser en numérique, en offset ou encore en sérigraphie, sur telle machine de tel format. L’optimisation du prix dépend essentiellement de ce choix, et les différences peuvent être très importantes suivant la machine utilisée. Tout acheteur d’imprimerie a été confronté à ces écarts déroutants tant ils sont importants.

Les donneurs d’ordre ayant un gros budget d’impression l’ont bien compris car ils s’adressent à des sociétés de fabrication. Ces sociétés sont hors de portée des petits industriels ou commerçants, dont le montant des travaux ne peut intéresser une société de fabrication dont les marges, tout à fait justifiées par le travail fourni, augmenteraient le prix de façon sensible ce qui rendrait l’intervention contre productive.

Une solution pour tous ? Oui

Créer un imprimeur possédant l’ensemble des matériels dans tous les procédés d’impression, connaissant toutes les règles de fabrication et capable de déterminer de façon tout à fait désintéressée quelle sera le procédé d’impression, la machine idéale, les moyens de finitions adéquats.

C’est possible, c’est un imprimeur virtuel.

En relation avec les acheteurs d’imprimerie, il pourra répondre à leur interrogations sur les différents choix qui se posent (papier, couleurs, pliage..), leurs permettre de définir un produit valide, leur donner les caractéristiques de l’imprimeur qu’ils recherchent, les accompagner dans le lancement de leurs appels d’offres après leur avoir indiqué un prix standard.

Une solution sans incidence financière sur le prix !

Questionner un système expert sur le net doublé d’une hot line, est beaucoup moins onéreux que de s’adresser à des professionnels qualifiés regroupés à l’intérieur d’une entreprise. Ce mode d’intervention a l’avantage de ne pas peser sur le prix de vente de l’imprimeur ou sur le prix final en prélevant la rémunération sur l’apport commercial inclus dans le prix (prélèvement minime de 3 à 5 % en fonction du prix de la commande).

Aujourd’hui, grâce à la réactivité du web c’est possible.

mardi 24 juin 2008

L’IMPRIMERIE SE MET AU VERT

Ce n’est pas donner dans l’opportunisme que de penser que chacun d’entre nous doit faire un effort pour protéger notre environnement.

Les papetiers en ont pris conscience et œuvrent pour le développement du recyclage des papiers usés ainsi que pour l’utilisation de pâtes à papier issues de forêts gérées durablement.

Les papiers produit à partir de ces pâtes se retrouvent à la vente sous les sigles PEFC et FSC.

Prenons l’engagement de nous orienter vers la consommation de papiers dont la fabrication est respectueuse de l’environnement.

Ce type de papier est plus onéreux que les papiers traditionnels, aussi, pour chaque opération l’utilisateur doit connaître l’effort qu’il réalise pour la sauvegarde de notre planète.